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SYNDICAT FO DES COMMUNAUX DE SAINT-DENIS

16 décembre 2008

HEURES D'INFOS SYNDICALE

La_foce

Heures d'infos syndicale

Vous avez des questions / vous voulez juste de l'information

Nous vous proposons une heure d'informations syndicale sur votre lieu de travail, aux heures ou vous êtes le plus disponible avec vos collègues

                        

N'hésitez pas à nous contacter au :

01 55 84 41 45

                  

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3 octobre 2008

HARCÈLEMENT SEXUEL

Harcèlement

La nouvelle qualification du harcèlement sexuel est prévue par le statut de la Fonction Publique.
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Adoptée à la suite de l'invalidation de la législation pénale réprimant le harcèlement sexuel par le Conseil constitutionnel en raison de son manque de précision, la loi n° 2012-954 du 6 août 2012 a notamment pour objet d’introduire dans le statut de la fonction publique la nouvelle qualification du harcèlement sexuel telle que prévue pour le code pénal.
XXXXXXXXXXXXXXX
A cette fin, l'article 6 ter de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires dans sa nouvelle rédaction interdit le harcèlement  sexuel défini comme l'ensemble des « propos ou comportements à connotation sexuelle répétés qui soit portent atteinte à la dignité [de l’agent] en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent  à son encontre une  situation intimidante, hostile ou offensante ».  Sont également assimilés au harcèlement sexuel, les phénomènes de « chantage sexuel », c’est-à-dire « toute forme de pression grave, même non répétée, exercée dans le but réel ou apparent d'obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers ». 
XXXXXXXXXXXXXXX
De plus, le dispositif existant de lutte contre les discriminations dans la carrière faisant suite à un harcèlement sexuel est étendu au cas où les agissements n’ont pas été commis de façon répétée ce qui doit permettre de couvrir par exemple, les situations de refus d’embauche à la suite d’un refus de céder à un chantage sexuel. 
XXXXXXXXXXXXXXX
Par ailleurs, l’article 6 de la loi du 13 juillet 1983 est modifié afin de compléter la liste des motifs de non discrimination par la mention de l’identité sexuelle. 
Il s’agit de prendre en considération la situation particulière d’homme ou de femme ayant une apparence physique ne correspondant pas à leur état civil ou ayant changé d’état civil. 

 circuharsexuel7_8_2012

27 septembre 2008

PERMANENCES AU CTM

Djamila et Laurent auront le plaisir de vous recevoir

Tous les mercredis matin, au local FO 2ème étage

de 9H à 12H ou sur rendez-vous au 01 55 84 41 45  

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27 septembre 2008

PERMANENCES EN MAIRIE

TOUT LES MARDIS

de 14h00 à 17h30

ou sur rendez-vous

27 septembre 2008

FO VOUS INFORME

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22 janvier 2008

COMMUNIQUE FORCE OUVIERE

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lettre d'info FO GD

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Promotion pour les catégories C

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Tract_GD_pomo_au_choix

Lettre_d_inFO____FO_____n_19_du_6_janvier_2010

Lettre_d_N°18

Lettre_d_N°17

Lettre_d_N°16 +z_IAJ2009_10 +IAJ2009_10_n2

Lettre_d_N°14

Lettre_d_N°13

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UNE MANIFESTION DE PLUS

 

CELA VA SERVIR A QUOI ?

 

Déclaration de Jean-Claude MAILLY communiqué de presse septembre 2009

 

Comment s'annonce cette rentrée sociale ?

Jean-Claude MAILLY : Que l'on soit bien clair, la crise se poursuit malgré tout ce qu'on raconte. Elle sera finie le jour où les investissements et les création d'emplois reprendront. Nous en sommes malheureusement encore loin. On s'attend à 800 000 chômeurs de plus cette année. Il y a de plus en plus de plans sociaux et de suppressions d'emplois. Ce qui me frappe, c'est la perte de confiance des salariés et un sentiment de révolte profond contre l'accroissement des inégalités. Que le gouvernement et le Président de la République fassent attention, ils sous-estiment beaucoup ce sentiment d'injustice. Maintenant les syndicats doivent regarder ensemble ce que l'on peut faire pour être efficaces et se faire entendre.

 

Irez-vous à la réunion souhaitée par la CGT et la CFDT, et qui pourrait se tenir demain ou, au plus tard, dans les prochains jours ?

On verra, mais pour faire quoi ? J'ai déjà dit que , le 8 septembre, nous ne pouvions pas. Tout semble vouloir être arrêté d'avance. La CGT n'a pas attendu pour appeler les salariés et les autres centrales à une mobilisation le 07 octobre prochain contre la crise. Ca ne marche pas comme ça. D'autant que , le 07 octobre, c'est avant tout une date arrêtée dans le cadre de la Confédération syndicale internationale pour sensibilser sur les normes du travail. On fera un colloque, comme prévu, pas une manifestation. Comme l'an dernier, FO ne mélangera pas les choses.

 

Entre FO et les grandes centrales, le courant ne semble plus passer. Qu'est-ce que cela cache ?

Est-ce la rentrée des classes qui veur cela ? On a un peu l'impression de chamailleries dans la cour de récréation. L'heure n'est pas à la polémique, mais il faut se poser les vraies questions. Quelle est la situation des salariés? Comment être efficace syndicalement ? L'unité d'action est un levier, mais cela suppose que l'on soit d'accord sur les revendications et sur les objectifs. Par exemple sur les modalités, nous avons des positions différentes.

 

Vous réclamez une grève de 24h, ce qui vous oppose à la CGT et la CFDT. Pourquoi privilégier ce mode d'action ?

Au printemps dernier, aprés le succès des deux premières manifestations du 29 janvier et du 19 mars, nous avons considéré qu'une de plus ne ferait pas bouger le gouvernement et finirait surtout par lasser les salariés. C'est ce qui s'est produit lors de la journée du 13 juin. Aujourd'hui le débat demeure, une manifestation de plus dans le contexte actuel, cela va servir à quoi ? FO n'est pas une armée avec un général et des troupes qui répondent aux ordres.

 

L'unité syndicale est donc bien morte...

L'unité d'action n'a pas vocation à être permanente. Elle peut s'arrêter et reprendre à tout moment. Pour FO ce n'est pas une obligation d'afficher un communiqué commun tout le temps, notamment si le but recherché, représentativité et congrés obligent, est surtout de montrer que le syndicalisme rassemblé ça marche. Je n'ai jamais cru au syndicalisme rassemblé, chaque syndicat doit être libre.

 

Les divisions ne sont pourtant pas payantes...

C'est vrai, mais dans le même temps les journées de manif à répétition non plus, ce n'est pas payant. Si l'objectif est de sortir les drapeaux, ce n'est pas la façon dont FO voit les choses. Cela ne nous empêche pas d'être sur le terrain auprés des salariés et d'avoir des initiatives. Au mois d'octobre nous allons réunir quelques centaines de délégués syndicaux d'entreprises en difficulté pour débattre et entendre ce qu'ils attendent. On n'est pas au cinéma, on est dans la réalité sociale.

 

Dans les conflits durs de cet été, comme New Fabris ou encore Continental, les leaders syndicaux se sont vu reprocher de ne pas être aux côtés des salariés. Qu'en pensez-vous ?

Je me refuse à des visites pour faire des opérations de com. Les salariés attendent des réponses et il faut pouvoir leur en donner. Cela ne veut pas dire qu'on ne fait rien. Dans certains de ces dossiers, il m'est arrivé d'intervenir auprés du PDG et d'activer tous les réseaux possibles.

 

Vous condamnez les actions radicales, comme les séquestrations ?

Non,car je les comprends, à conditions que cela se fasse dans la dignité. Mais je ne dis pas qu'on appelle les salariés à faire cela. Une chose est sûre, il y en aura d'autres. Comment peut-il en être autrement ?

 

 

 

             

          

preavis_bachelot_190309 grève du 19 édité le 09 mars

          

 

DECLARATION DE JEAN-CLAUDE MAILLY

du 18 février 2009

cher(s) camarades,

Le sommet social qui vient de s'achever a revêtu une forme inhabituelle. Alors que la phrase préparatoire traditionnelle entre chaque organisation syndicale et le Ministre les plus concernés (CF. ciculaire confédérale n°025 -29 du 12 février 2009), a permis de fixer le cadre des discussions, ce qui pour nous signifie déposer les revendications, le sommet social ne pouvait pas s'exonérer du problème de la Guadeloupe.

La délégation FORCE OUVRIERE était conduite par Jean-Claude MAILLY, Secrétaire Général accompagné de Marie-Alice MEDEUF-ANDRIEU, (secteur Négociation/Salaires) et de Stéphane LARDY (Emploi/Assurance Chômage).

Pour FORCE OUVRIERE, Jean-Claude MAILLY a décliné l'ensemble des revendications telles que précisées dans la circulaire ci-dessus et rappelées dans le dernier éditorial de FO HEBDO.

Avant tout débat, le Secrétaire Général de FORCE OUVRIERE ainsi que ceux de la CGT, de la CFDT et de la CFTC ont insisté sur l'urgence et l'importance de la crise et notamment sur l'état dans lequel se trouve la GOUADELOUPE. Il a réaffirmé que le gouvernement et le patronat doivent trouver des solutions négociées trés rapidement pour mettre un terme à la dimension socialedu conflit.

 

Les annonces faites :

  • L'indemnisation du chômage partiel sera porté à 75% du salaire brut (60% du brut actuellement) par demande des branches.
  • En matière d'indemnisation du chômage, pour aider ceux qui n'atteignent pas les 4 mois de cotisations nécessaires, une prime de 400 à 500 € pourrait être attribué aux chômeurs ayant cotisé entre 2 et 4 mois.
  • Pour les jeunes, Laurent Wauquiez et Martin Hirsch seront chargé d'une concertation mais sans aucune précision de donnée.
  • Confirmation sur le contrôle des aides et contreparties publiques données aux entreprises par les comités d'entreprise.
  • Restructuration et Gouvernance des entreprises : Le président renvoie à la négociation entre interlocuteurs sociaux la question de la Gouvernance des entreprises (nous avons rappelé ce qu'était l'indépendance syndicale) et la facilitation des licenciements économiques (version Medef).
  • Enfin, le Président de la République reprend l'idée du fonds social destiné à abonder les crédits à l'emploi dont le financement serait pris en charge pour partie par l'Etat. Pour autant, le contenu et la finalité de ce fonds restent flous. L'Etat y mettrait 800 millions d'euros, le reste étant de la "compilation".

 

 

Salariés et "justice sociale" :

  • L'intéressement et les allègements de charges (loi sur les revenus du travail du 3/12/2008) feront l'objet d'un bilan au 31 mars 2009.
  • Une mission d'analyse pourrait être engagée pour étudier le partage de la valeur ajoutée et son évolution tant dans le privé que le public.
  • Partage des prfits et dividendes : le président renvoie de nouveau à une négociation entre interlocuteurs sociaux sur la base de la mission d'analyse de la valeur ajoutée.

 

 

Pour les classes Moyennes :

  • Le président propose la suppression d'une partie de l'impôt sur le revenu pour prés de 6 millions de foyers (200 € en moyenne).
  • Une augmentation des allocations familliales pour les titulaires de l'allocation de rentrée scolaire et des bons d'achat.

 

 

L'Agenda social :

Le président propose un comité d'évaluation de la crise et des politiques économiques et sociales, une cellule de veille de Fonds d'investissement social, et propose au totre de l'agenda social, la négociation sur les TPE, la réforme des IRP, la gouvernance des entreprises, et renvoie enfin à des réunions bilatérales avec Eric Woerth, André Santini les thèmes sur la Fonction Publique. Sur tous ces points, beaucoup d'ambiguïté et rien qui soit arrêté. On doit en rediscuter avec le ministre du travail.

 

En conclusion, des avancées plus que timides qui ne répondent pas à la nature de la crise, au soutien à la consommation, à l'emploi dans le public et à un profond sentiment d'injustice sociale. Par exemple, blocage sur les salaires, blocage sur le rétablissement de l'AER (renvoyé à Matignon). D'où la nécessité de maintenir la mobilisations.

 

FORCE OUVRIERE a, par ailleurs, était la seule confédération à demander l'ajournement de la loi HPST et à apporter son soutien aux enseignants-chercheurs.

Amitiés syndicalistes.

Jean-Claude MAILLY

Secrétaire Général

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FONCTION PUBLIQUE / Ministres et syndicats se retrouvent à partir du 23 février

Le ministre de la Fonction publique, Eric Woerth, et son secrétaire d'Etat, André Santini, entament lundi 23 février une semaine de discussions à Bercy avec les syndicats de fonctionnaires, qui réclament un gel des suppressions d'emploi prévues en 2009 et une hausse du pouvoir d'achat.

Ces rencontres bilatérales annoncées par le président de la République à l'issue de la conférence sociale à l'Elysée le 18 février "doivent apporter une réponse aux attentes des fonctionnaires", a prévenu jeudi Anne Balthazar (FO). Les syndicats demandent une augmentation "significative" du pouvoir d'achat, laquelle est conditionnée à la revalorisation du point d'indice, base de calcul des salaires des 5,2 millions de fonctionnaires. Ils réclament également un moratoire sur les 30.000 suppressions d'emplois prévues dans la Fonction publique d'Etat (FPE) en 2009 dans le cadre de la réforme de l'Etat, dont la mesure phare est le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

Lundi 23 février, la fédération CGT, premier syndicat dans l'ensemble des trois Fonctions publiques (Etat, territoriale, hospitalière) et la CFDT donneront le coup d'envoi de ces entretiens. "Nous allons donner à ces renez-vous un caractère revendicatif vu le contexte actuel", a indiqué Brigitte Jumel (CFDT). Mardi, FO et la CFE-CGC vont se succéder. Solidaires, "qui ne restera pas longtemps dans la salle s'il n'est question que de dialogue social", et l'UNSA seront reçues quant à elles jeudi 26 février par MM.Woerth et Santini. Ce sera ensuite autour de la FSU, majoritaire dans la FPE, la seule branche de la Fonction publique concernée par les 30.000 suppressions d'emploi, dont 13.500 dans l'Education nationale. La CFTC conclura ces rendez-vous le lundi 02 mars.

Résultat de la rencontre avec FORCE OUVRIERE:     cliquez sur ce lien = 2009

 

 

 

COMMUNIQUE COMMUN DES ORGANISATIONS SYNDICALES

CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA

 

l'intervention télévisée du Président de la République a été marquée par la force de la mobilisation du 29 janvier. Cependant les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES, UNSA considèrent que les réponses appotées jusqu'à présent restent loin des attentes et des exigences portées par la mobilisation du 29 janvier et leur déclaration intersyndicale du 05 janvier.

 

l'annonce d'une réunion des partenaires sociaux du 18 février avec la formulation d'un certain nombre de pistes constitue un élément important. Mais malgré un changement de ton le président de la république maintien pour l'essentiel ses orientations en matière de politique économique et sociale.

 

Les organisations syndicales attendent de la réunion du 18 février que le gouvernement apporte des réponses concrètes et engage les discussions nécessaires à l'ensemble des revendications de la déclaration intersyndicale. Elles attendent également que le patronat prenne ses responsabilités.

 

C'est pourquoi les organisations syndicales estiment indispensable de maintenir la pression dans l'unité d'action. Elles appellent à poursuivre les actions engagées dans les secteurs professionnels et les entreprises et à prendre toutes les initiatives  pour construire les mobilisations nécessaires.

 

Elles décident d'une nouvelle journée d'action interprofessionnelle le 19 mars. Elles se retrouveront le 23 février pour évaluer les résultats de la réunion du 18 février et préciser le sens, le contenu et les modalités de cette journée sur la base de leur déclaration intersyndicale du 5 janvier :

  • Donner la priorité au maintien des emplois dans un contexte de crise économique.

  • Améliorer le pouvoir d'achat, réduire les inégalités dans les politique sociales.

  • Orienter la relance économique vers l'emploi et le pouvoir d'achat.

  • préserver et améliorer les garanties collectives.

  • Règlementer la sphère financière internationale.

 

Communiqué du 09 février 2009

 

 

DECLARATION DE JEAN-CLAUDE MAILLY

Chers camarade,

Les organisations syndicales se sont retrouvées le 09 février 2009 comme elles en étaient convenues pour réagir sur les annonces faites par le Président de la République le 5 février et décider ou non d'une suite au 29 janvier. La délégation FORCE OUVRIERE était composée de Michelle BIAGGI et René VALLADON.

 

Dès le 5 février au soir, Jean-Claude MAILLY avait déclaré que compte tenu des annonces présidentielles et de l'absence de mesures concrètes et immédiates, les organisations syndicales avaient deux possibilités : soit attendre le 18 février et aviser ensuite, soit s'engager tout de suite dans une pression sur le gouvernement en prévoyant une nouvelle journée de mobilisation aprés le 18 février, quitte à la retirer si la rencontre avec le président de la République avait des effets concrets et immédiats pour les salariés.

 

sans ambiguïté dès le premier tour de table, toutes les organisations se sont positionnées sur un même constat : les annonces faites par le président de la République, même si elles ouvrent des pistes de discussions, n'amènent rien de concret et d'immédiat pour les salariés en matière de pouvoir d'achat, d'emploi et de services publics. La discussion a donc porté sur l'aprés 18 février date à laquelle les confédérations syndicales représentatives seront reçues à l'Elysée.

 

Pour FORCE OUVRIERE, nous avons soulevé le prblème posé par la déclaration intersyndicale du 5 janvier dont certaines organisations syndicales se sont servies pour imposer des déclarations uniques et unitaires dans plusieurs départements le 29 janvier et rappeler que chaque organisation reste maître de ses revendications.

 

nous avons rappelé quelques unes de nos exigences : la mobilisation future ne peut être en aucun inférieure à celle du 29 janvier. Elle exige donc une préparation sérieuse. Pour FORCE OUVRIERE elle doit se dérouler par préférence en semaine. FORCE OUVRIERE prendra en compte dans ses analyses les positions et déclarations du patronat aprés le 18 février.

 

Aprés discussion, l'ensemble des organisations syndicales a choisu de maintenir la pression sur le gouvernement et le patronat en décidant d'une nouvelle journée d'actions et de mobilisations qui a été fixée au 19 mars.

 

Les organisations syndicales ont décidé de se revoir  le 23 février à 10h00 afin de fixer les modalités de la future journée du 19 mars 2009.

 

déclaration du 10 février 2009

 

 

 

 

la rgpp nuit gravement...

 

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.

 

LA RGPP EST NUE !

 

 

 

 

 

Le rapport du 16 décembre 2009 de la Cour des Comptes sur la fonction publique dénonce l’absence de stratégie de l’Etat et critique la « règle » imposée par le chef de l’Etat et son gouvernement du « non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite ».

 

 

 

Pour la CGT-FO, cette condamnation rejoint sa revendication de stopper immédiatement la révision générale des politiques publiques (RGPP) dont l’unique but est de supprimer pour supprimer les effectifs publics (et in fine pouvoir ainsi justifier un transfert des missions publiques vers le secteur privé). Chacune des réformes engagées dans chaque ministère ou établissement sous tutelle ne vise en réalité qu’à justifier et préparer les fermetures de postes dictées par la RGPP.

 

 

 

Une équation comptable ne peut dicter les politiques et l’organisation de l’Etat (et des collectivités territoriales comme des structures de la fonction publique hospitalière). C’est une aberration comme une atteinte aux principes de notre République, sociale, une et indivisible.

 

 

 

Pour la CGT-FO, il faut faire respecter les valeurs républicaines de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité. Il faut donner aux politiques publiques, les moyens et les ressources nécessaires par une fiscalité juste et égalitaire. Les services des trois versants de la Fonction Publique ainsi que les régimes de protection sociale collective doivent être préservés et consolidés. Il s’agit autant de préserver ces « protections » atténuant les effets des crises financières et économiques que de permettre d’en sortir et de générer des emplois et de la croissance.

 

 

 

Le gouvernement refuse d’en débattre et impose la RGPP avec ses destructions d’emplois, ses réorganisations, sa perte de sens, ses mobilités imposées, son refus de prise en compte de la situation personnelle des femmes et des hommes de la Fonction Publique aboutissant à des drames.

 

 

 

La CGT-FO réclame un moratoire immédiat sur les 374 mesures de l’acte I de la RGPP et s’oppose à tout nouvel acte.

 

 

 

La RGPP nuit grandement à notre République.

 

 

 

La RGPP tue.

 

 

 

La RGPP détruit et supprime.

 

 

 

La RGPP est nue car elle est nulle et non avenue.

 

 

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23 janvier 2007

CONCOURS / EXAMENS PROFESSIONNELS 2013/2014

7 avril 1998

TULIPES

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0028

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15 mars 1998

LE STATUT DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

1 janvier 1998

FO, LIBRE ET INDEPENDANT

NEIGE

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